NAJI Mossaab

Chaque fois que le travail sur un article ou un sujet est terminé, placer son compte-rendu en commentaire du billet qui vous est attitré. Il sera ensuite référencé comme il se doit.

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[ZERKTOUNI]

JE T4AIME MOSSAAB

[Naji Mossaab]

L’eau est elle schizophrène ?,José TeixeiraLR n°363, Avril 2003,p42-44.

MC : schizophrène, solidification, densité, glace amorphe, point critique, liquide, diffusion, ligne de transition, température, thermodynamique ;
Notes :Article qui expose plusieurs expériences faites par des physiciens pour connaître la composition de l’eau liquide. On trouve aussi des explications concernant la composition de ce liquide qui ne respecte pas les lois établies pour les autres liquides.
Contenu :Tout au long du siècle dernier, plusieurs physiciens ont tenté de percer le mystère de la composition de l’eau liquide. Le premier à avoir essayé était le physicien Wilhelm Rontgen qui a voulu prouver que l’eau est constituée d’un mélange de glaçons microscopiques dont le nombre augmente à basse température. Bien sur cette hypothèse est fausse car l’eau est en fait très homogène. Et pourtant, l’idée que dans certaines conditions l’eau serait un mélange n’a jamais été abandonnée puisqu’il y a eu d’autres hypothèses de ce genre mais qu’on a pas pu démontrer expérimentalement. D’autres physiciens se sont posés la question suivante : « Puisqu’il existe deux formes de glace amorphe(de basse et de haute densité) l’eau alors pourrait il avoir 2 structures différentes ? ».C’est ce que le professeur Mishima de l’université de Boston a essayé de prouver sur un diagramme de phases en traçant une ligne de transition séparant les deux glaces amorphes. Cette ligne s’arrêterait forcément à une température basse sur un point que l’on nomme « point critique ». Au voisinage de ce point, beaucoup de propriétés dépendent de la température, cette idée explique pourquoi les propriétés de l’eau liquide au voisinage de -35 °C (point critique) varient avec une brusquerie anormale, ce qui pourrait expliquer que l’eau liquide n’a pas une structure unique.
Compléments : Infos sur la formation de glace amorphe : http://fr.wikipedia.org/wiki/Glace_amorphe

[Jean-Philippe Qadri]

Mises en ligne :LR n°389 : Mille-feuilles moléculairesLR n°363 : L'eau est-elle schizophrène ?

[Naji]

Millefeuilles moléculaires ,Gero Decher, Jean-Claude Voegel et Pierre Schaaf,LR n°389, Septembre 2005, p.58-59.

MC : MC : charges électriques, polyélectrolytes, macromolécules, films, multicouches, rigidité, épaisseur, polycations, éthylène.
Notes : Notes : Article intéressant qui explique la procédure de formation des films qu'on apelle "multicouches de polyélectrolytes" sur la surface de plusieurs métaux, et qui rendent ces derniers encore plus rigides.
Contenu : Contenu : Ce n'est qu' au début des années 1990, qu'on a finalement percé le secret des films déposés sur la surface de certains métaux. Les études on prouvés que ces films sont formés par des multicouches qui possèdent une structure régulière ou se succèdent, tels des millefeuilles moléculaires, des monocouches de polyanions et de polycations.Ces films se forment grace aux interactions électrostatiques, entre les molécules qui portent des charges électriques négatives qu'on trouve déposés sur la surface des métaux, et des molécules portant des charges de signe opposé qui s'y fixent facilement.
Compléments : Compléments : http://www.ipcms.u-strasbg.fr/formations/ED/These2006/Thematiques06/Decher2006.pdf

[naji]

L’art des ricochets,
 

Lydéric Bocquet et  Nicolas Witkowski,
 LR n°365, Juin 2003, p.46-49.

 

Mots Clés : vitesse de rotation, rebond, énergie cinétique, frottements de l’air, choc, rotation stabilisatrice, dynamique des fluides, diminution de la vitesse.

 

Notes : La comparaison des ricochets avec des sports aquatiques comme le barefoot et le ski nautique. A retenir aussi quelques conseils pour réussir à faire un grand nombre de ricochets à la suite.

 

Contenu : Le jeu des ricochets a fait l’objet de plusieurs recherches au Moyen-âge. Mais ce n’est qu’au XVIII siècle qu’un jeune scientifique, Lazaro Spallanzani trouva une explication à ce phénomène grâce à son expérience qui consiste à lancer une pierre sous un angle rasant dans un bac rempli d’argile molle, puis d’observer la trace du projectile lancé. Après plusieurs observations, il conclut que ce phénomène est dû à l’élasticité de l’eau, puisque l’eau se creuse sous l’impact tangentiel de la pierre, puis repoussée sur le bord opposé du creux.  Une vague est formée et lance la pierre vers un autre ricochet et ainsi de suite, jusqu’à ce que la pierre perde toute sa vitesse et que son énergie  cinétique soit nulle à cause des frottements dus au contact de l’eau.

[Jean-Philippe Qadri]

Désormais, tu te dois de respecter les consignes de mise en forme et de présentation présentées dans les billets correspondant.
Mise en ligne (19/03/07) : LR n°365 : L'art des ricochets