VACHERET Thomas

Publié le par Jean-Philippe Qadri

Chaque fois que le travail sur un article ou un sujet est terminé, placer son compte-rendu en commentaire du billet qui vous est attitré. Il sera ensuite référencé comme il se doit.

Publié dans Classe 2006-2007

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
V
Redéfinir le kilogramme ,Ian Robinson /> Pour la Science n°353, Mars 2007, p 68-74.<br /> <br /> MC : kilogramme, cesium133, balance de Watt, sphère de crystal, silicium, constante d’Avogadro, constante de Planck.<br /> Notes :cet article est très interessant car il est vraiment impressionnant d’apprendre que depuis plus d’un siècle la valeur du kilogramme na pas variée dans les institutions tout au moins. Des deux méthodes expliquées la première est quand même plus abordable que la deuxième qui reste néanmoins très intéressante .<br /> Contenu : De nos jours de nombreuses unités de mesures sont définies de manières extrêmement précises, telles que : le mètre en fonction de la vitesse de la lumière dans le vide ou encore la seconde qui est liée à la fréquence d’un rayonnement émis par l’atome de Cesium 133 lors de la transition entre deux niveaux d’énergie. Il est donc difficile, aujourd’hui, de penser que le kilogramme est lui défini par un objet crée par l’homme, vieux de plus d’un siècle. Cet objet est un cylindre de platine irridié conservé sous vide. Cette définition du kilogramme est en passe d’être modifiée car les scientifiques ont remarqué une variation de l’ordre de 50 microgrammes dans la mesure de définition de toutes les balances du monde. Les scientifiques du monde entier travaillent donc sur une redéfinition du kilogramme de deux manières différentes :-La première est basée sur la constante d’Avogadro et elle consiste en la construction d’une sphère de cristal de silicium(meilleur que le carbone) dont on déterminerait le nombre d’atomes contenus par celle-ci puis on diviserait ce nombre par le volume du cristal pour obtenir le volume occupé par un atome et connaissant la masse molaire des atomes composants le cristal on pourrait, ainsi déterminer une valeur de la constante d’Avogadro et donc une nouvelle définition du kilogramme. Le problème de cette méthode et qu’elle n’est pas encore assez précise et pour y remédier ,les scientifiques cherchent à édifier une nouvelle sphère de cristal encore plus pure pour obtenir un exactitude d’environs deux parties pour 100 millions !! L’autre méthode, plus complexe, est basée sur la célèbre formule d’Einstein, E=mc^2, et aussi sur la constante de Planck. Cette méthode met en jeu des unités de mesure extrêmement précises et elle est connue sous le nom de balance de Watt. A terme plusieurs laboratoires effectueront une mesure du kilogramme et compareront leurs résultats entre eux pour déterminer la bonne ou mauvaise précision de ces mesures. De plus ces méthodes pourront réduire, efficacement, les incertitudes sur les constantes d’Avogadro et de Planck. Mais dans tous les cas ces deux méthodes demandent encore plus de précision pour pouvoir une bonne redéfinition du kilogramme. <br /> <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  
Répondre
J
Mise en ligne (24/06/07) : PS n°353 : Redéfinir le kilogrammearticle très intéressant, dommage que tu te sois arrêté à la recension de deux articles seulement.
V
Les turbulences du nanomonde,Yves Sciama ,Les dossiers de la recherche, n°26,Février-Avril,p48-53 <br />  <br /> <br /> MC : nanotechnologies, risques toxicologiques, particules Diesel .<br /> Notes :cet article est intéressant mais n'utilise pas de connaissances scientifiques très précises car je pense que ce domaine est relativement complexe.Mais il fait tout de même réfléchir sur une sorte de "course à à l'armement" <br /> Contenu : Les très grandes possibilités de ces très petites particules que sont les nanotechnologies ne seraient-elles pas toutes inoffensives ?C’est en tout cas ce que pensent certains scientifiques et ces risques sont divers et variés : -IL y a tout d’abord le risque lié a la mythique « grey goo »(boue grise en anglais) qui représenteraient une véritables marée de particules nanométriques qui consommeraient notre biosphère,peu crédible ! -Mais des risques plus concrets existeraient :des risques toxicologiques car les nanotechnologies peuvent polluer notre atmosphère avec pour exemple les particules DIESEL qui ne sont ni plus ni moins que des nanoparticules, car il est vrai que les nanoparticules sont diverses, elles peuvent tout aussi bien naturelles que crées par l’Homme. Cette pollution peut aussi être engendrée par ,justement , la production par l’Homme de certaines de ces nanoparticules . Mais il existe aussi un risque pour la santé de certains patients traités avec des nanotechnologies, car il s’avèrerait que les effets de ces particules peuvent aussi être inflammatoire tout comme cancérogènes ! -Mais on ne peut pas non plus négliger l’aspect économique de ces sciences qui sont très, notamment sur ce plan là. Et c’est là, très certainement, leur principal danger. .<br /> <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  
Répondre
J
Tu n'as toujours pas corrigé les points (2) et (3) :-((Mise en ligne (que je voudrais bien corriger si tu daignes reprendre correctement ton travail, 24/06/07) : DLR n°26 : Turbulences du nanomonde
T
Yves Sciama<br />  <br /> <br /> Les dossiers de la recherche, n°26,Février-Avril,p48-53<br />  <br /> <br /> MC:nanotechnologies, risques toxicologiques, particules Diesel<br />  <br /> <br /> notes:cette articles est intéressant mais n'utilise pas de connaissances scientifiques très précises car je pense que ce domaine est relativement complexe.Mais il fait tout de même réfléchir sur une sorte de "course à l'armement" que sucite ces sciences qui peut être a terme néfaste pour nous et notre environnement.<br />  <br /> <br />  <br />  <br /> <br /> Les très grandes possibilités de ces très petites particules que sont les nanotechnologies ne seraient-elles pas toutes inoffensives ?C’est en tout cas ce que pensent certains scientifiques et ces risques sont divers et variés :<br />        -IL y a tout d’abord  le risque lié a la mythique « grey goo »(boue grise en anglais) qui représenteraient une véritables marée de particules nanométriques qui consommeraient notre biosphère,peu crédible !<br />        -Mais des risques plus concrets existeraient :des risques toxicologiques car les nanotechnologies peuvent polluer notre atmosphère avec pour exemple les particules DIESEL qui ne sont ni plus ni moins que des nanoparticules, car il est vrai que les nanoparticules sont diverses, elles peuvent tout aussi bien naturelles que crées par l’Homme. Cette pollution peut aussi être engendrée par ,justement , la production par l’Homme de certaines de ces nanoparticules .<br />        Mais il existe aussi un risque pour la santé de certains patients traités avec des nanotechnologies, car il s’avèrerait que les effets de ces particules peuvent aussi être inflammatoire tout comme cancérogènes !<br />        -Mais on ne peut pas non  plus négliger l’aspect économique de ces sciences qui sont très, notamment sur ce plan là. Et c’est là, très certainement, leur principal danger.
Répondre
J
De grâce, RELIS-TOI avant de poster :(1) Il n'y a pas de titre(2) Il n'y a pas d'année de parution(3) Il manque un mot dans ton tout dernier point, ce qui fait qu'il en devient incompréhensible.... et je te rappelle qu'il faut respecter une présentation : pour cela lire Comment présenter : suite.(4) Conclusion : j'attends un post corrigé et complet pour en tenir compte