BELFIO Fiona

Publié le par Jean-Philippe Qadri

Chaque fois que le travail sur un article ou un sujet est terminé, placer son compte-rendu en commentaire du billet qui vous est attitré. Il sera ensuite référencé comme il se doit.

Publié dans Classe 2006-2007

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B
Les secrets du linge bien lavé,Anemoon Timmerman,LR n°368, Octobre 2003, Savoirs Physique.<br /> <br /> MC : efficacité de la lessive,phénoméne de diffusions, surfactants, micelle, la condition de non glissement, George Gabriel Stokes, enzymes gloutons.<br /> Notes :l’article explique les mécanismes microscopiques lors d’une lessive. Ceux-ci n’ont été compris que récemment alors que faire la lessive est une activité vieille de plusieurs millénaires. . <br />  <br /> Contenu : La rareté de l’eau et la protection de l’environnement imposent aux industriels d’améliorer les machines à laver. Dans la lessive se trouvent des molécules de surfactants. Elles ont une tête hydrophile et une queue hydrophobe, elles forment des micelles (billes de formes variées) au centre desquelles on peut trouver éventuellement une tâche de gras. Plus les molécules sont nombreuses, plus la force soulevant la tâche est forte. Le linge est tordu et étiré lors dune lessive, donc les surfaces pour accueillir les surfactants augmentent et diminuent. Alors de grandes quantités de surfactant sont échangées entre le tissu et l’eau. Une bicouche se forme entre ceux-ci : les frottements s’exercent sur la couche externe et l’autre est ancrée dans le tissu. Si la friction est importante, il y a glissement entre les deux couches jusqu’à la rencontre avec une tâche. Les molécules emportent la tache lorsque la tension autour de la tache atteint un certain seuil.Lors d’une action suffisamment importante pour enlever les taches, l’eau glisse dans les pores du tissu. Ceci est un cas rare qui fait exception à la condition de non glissement énoncée par George Gabriel Stokes : elle annonce que lorsqu’un liquide s’écoule le long d’une paroi, les couches liquides en contact direct avec celle-ci restent immobiles, elles ne glissent pas. La sélection de nouveaux détergents se fait, aujourd’hui, sur l’efficacité des surfactants et leur rapidité à passer de l’état de micelle à l’état absorbé.<br />
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J
Il manque la pagination...Je mets en ligne mais j'aimerais que tu transmettes la précision pour que je puisse compléter : Les secrets du linge bien lavé
F
excusez pour l'oubli  Les auteurs de l'article " comment faire de la lumière avec de son" sont  : Sasha Hilgenfelde, Detlef Lohse
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J
B, mise en ligne (24/06/07) : Comment faire de la lumière avec du son
F
Comment faire de la lumière avec du son,auteur(s),LR n°354, Juin 2002, p. 22- 28.<br /> <br /> MC : sonoluminescence, dynamique des bulles, compression d’un gaz, émission lumineuse.<br /> Notes : l’article relate d’expériences et de recherches sur la sonoluminescence (production de lumière dans une bulle de gaz comprimée par des ultrasons) pendant une douzaine d’années. La compréhension partielle du phénomène a été permise grâce à la combinaison de connaissances venant de divers domaines de la physique. <br /> Contenu : Le phénomène est problématique car l’onde lumineuse a besoin de beaucoup plus d’énergie qu’une onde sonore. Il existe une différence entre la sonoluminescence « multi bulle » et la sonoluminescence « mono bulle » qui est stable. La bulle connaît une implosion qui se répète à chaque cycle de l’onde sonore. De plus l’émission de la bulle est une plage continue de longueurs d’onde. Le premier problème est la stabilité de la bulle. Celle-ci est liée à la quantité de gaz rare dissous dans le liquide. La bulle peut-être détruite pour deux raisons : les petites instabilités autour de la bulle sont trop importantes, ou la tension de surface est si faible que le gaz de la bulle se dissout progressivement dans le liquide, d’où l’importance de choisir correctement l’amplitude de l’onde sonore et la taille de la bulle. Un cycle se fait en plusieurs parties : lorsqu’elle se dilate, la pression à l’intérieur de la bulle baisse, du gaz dissous dans le liquide pénètre dans la bulle, ce qui augmente la taille de la bulle. La sonoluminescence peut être observer avec une bulle d’air, alors que nous avons dit que le gaz doit contenir une bonne partie de gaz parfait. Pendant l’implosion, la température dans la bulle augmente tel que tous les gaz qui se dissocient à haute température (dioxygène, azote) sont évacués. Les seuls gaz restants sont les gaz rares. Pour comprendre l’émission de lumière, les scientifiques ont dû utiliser un modèle d’échange thermique entre la bulle et le liquide environnant, et un modèle de réaction chimique. Ils ont constaté que la durée de l’éclair est assez proche de la durée de l’implosion de la bulle. En ce qui concerne l’air, le phénomène est lié à la petite quantité d’air lors de l’élévation de température et de la compression de la bulle. Les atomes s’ionisent, les électrons perdus sont abordés par des ions, des photons sont produits : production de lumière pendant quelques fractions de seconde. La compréhension du phénomène pourrait permettre de réduire l’érosion par cavitation des turbines des bateaux. La sonoluminescence aurait une application médicale / les bulles pourraient détruire des cellules malignes. <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br /> <br />  <br /> <br />  
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B
Quand les gouttes ne rebondissent plus,Vance Bergeron, Daniel Bonn et Louis Vovelle,LR n°351, Mars 2002, p. 40-43.MC&nbsp;: MC : polymère, viscosité de cisaillement, viscosité élongationnelle, fluide newtonien, fluide complexe, équation constitutive.Notes&nbsp;:Notes : La recherche d’une solution à un problème posé par un industriel a apporté premièrement une application concrète, ensuite les scientifiques ont commencé à résoudre un problème du génie des procédés. Pour un retour à la ligne, taper dans votre texte la commande à la fin de chaque paragraphe (sauf le dernier!).Contenu&nbsp;: Contenu : Un phénomène étrange se produit lorsqu’on ajoute une quantité infime d’un polymère particulier à de l’eau :  la rétraction des gouttes est ralentie et les gouttes restent entières lors d’un choc. La modification de la viscosité de l’eau a permis premièrement l’optimisation des lances d’incendies. De plus, en ajoutant un herbicide à ce mélange, l’efficacité du herbicide augmente de 70%, ce qui n’est pas négligeable pour l’agriculteur. Le problème pour les scientifiques est de quantifier l’effet des polymères sur la rétraction des gouttes. La rétraction est constituée d’un étirement. La résistance à cet étirement s’appelle la viscosité élongationnelle. De plus le fluide adopte un profil de vitesses paraboliques (la vitesse du fluide est plus rapide au milieu de ce fluide que sur les bords) : le gradient de vitesse s’appelle le cisaillement (d’où la viscosité de cisaillement). Les fluides newtoniens ont leurs viscosités constantes et liées entre elles. Ceci n’est pas le cas pour la solution de polymère, on appelle ce genre de fluide : fluide non newtonien ou complexe. Il faut savoir que les polymères ont le mêle comportement que de petits ressorts élastiques, ils reprennent leur forme initiale c’est-à-dire une forme de pelote. La mesure de la viscosité élongationnelle est un problème du génie des procédés. Les scientifiques ont mis en place une nouvelle méthode utilisant une équation constitutive (équation reliant cause et effet).   Compl&eacute;ments&nbsp;:
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J
Ce texte ci-dessus aurait dû être copié dans la "SOURCE" du commentaire : la prochaine fois, tape ton texte, ouvre ton commentaire, clique sur "source", colle ce texte, reclique sur "source" pour revenir à la lecture directe de ton texte, vérifie qu'il n'y a pas d'erreurs et alors SEULEMENT tu peux poster ;-)<br /> Si il y a des questions encore sur la mise en forme, n'hésite pas à les poser.<br /> Sinon, article bien intéressant :-) Mise en ligne (19/03/07) : LR n°351 : Quand les gouttes ne rebondissent plus<br />  
B
 La révolution de l'espace-temps, David Larousserie, SA n°704, Octobre 2005, p. 52-62<br />  <br /> <br /> MC : relativité général, physique quantique, géométrie non commutative, les particules élèmentaires, l'infini, Alain Connes (scientifique)<br />  <br /> <br /> Notes : notions complexes abordées, manque d'explication<br />  <br /> <br /> Contenu :<br />  <br /> <br /> Le problème : la relativité générale et la physique quantique sont inconciliables.<br />  <br /> <br /> Nous vivons dans un espace d'Einstein : 4 coordonnées dont le temps. Dans le monde quantique, il y a la position et la vitesse, soit 6 coordonnées, d'où l'incompatibilité de savoir en même temps la position et la vitesse. Dans un espace non commutatif les points sont indiscernables les uns des autres.<br />  <br /> <br /> Depuis un vingtaine d'années, une nouvelle discipline a été crée : la géométrie non commutative. Elle permet de calculer et résoudre des équations. Pour mesurer une distance on évalue le déphasage entre deux points ou on calcule les niveaux d'énergies de certains opérateurs non commutatifs.<br />  <br /> <br /> Dans un monde non commutatif l'espace engendre le temps. A partir des états d'équilibre, on en déduit l'évolution temporelle. Il y aurait une existence d'échelle de temps. Certains scientifiques ont posé l'hypothèse que le temps passe car nous sommes dans une certaine température.<br />  <br /> <br /> Le modèle standart pose un probléme pour la description de l'organisation des particules élémentaires. Chacune des forces possèdent des symétries. Alain Cones, scientifique, a construit un modèle  où les dimensions sont non commutatives, qui engloberaient toutes ses particules.<br />  <br /> <br /> De plus, dès que les physiciens appliquent le modéle standart à des particules, les calculs divergent vers l'infini. Ils ont donc inventé la technique de renormailisation : différenciation des différents paramètres. Les mathématiciens, on découvert un groupe dans le problème, ceci facilite le problème.<br />  <br /> <br /> Une autre alternative pour résoudre le problème est la théories des cordes.<br />  <br /> <br /> Alain Connes est chercheur à l'institut des hautes études scientifiques. Dans les années 1980, il invente la géométrie non commutative. Il a reçu de nombreuses récompenses pour ses travaux.<br />  <br /> <br /> Définition :<br />  <br /> <br /> Le boson de Higgs aurait été donné une masse à certains vecteurs de l'interaction de l'électrofaible, leur donnant des propriétés différentes de celles des autres vecteurs.<br />  <br /> <br /> Un opérateur hamiltonien permet de décrire l'évolution d'un système quantique au cours du temps dans la représentation de Schroedinger.<br />  <br /> <br /> La symétrie de jauge est un principe qui s'applique à la mécanique quantique des trois forces fondamentales non gravitationnelles.<br />  <br /> <br /> Complément :<br />  <br /> <br /> La géométrie de l'incertitude, LR n°307, 03/1998 - Mathématiques<br />  <br />
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J
B, mise en ligne (05/03/07) : SA n°704 : Espace-Temps<br /> <br /> Pour les prochains sujets :<br /> (1) choisis autre chose que de la relativité générale (bien au-dessus de nos moyens en prépa)<br /> (2) utilise Comment présenter : suite. pour bien présenter<br /> C'est quand même plus joli comme ça, non ?<br /> La révolution de l'espace-temps, David Larousserie, SA n°704, Octobre 2005, p. 52-62.<br /> <br /> MC : relativité général, physique quantique, géométrie non commutative, les particules élèmentaires, l'infini, Alain Connes (scientifique)<br /> Notes :notions complexes abordées, manque d'explication<br /> Contenu : Le problème : la relativité générale et la physique quantique sont inconciliables. Nous vivons dans un espace d'Einstein : 4 coordonnées dont le temps. Dans le monde quantique, il y a la position et la vitesse, soit 6 coordonnées, d'où l'incompatibilité de savoir en même temps la position et la vitesse. Dans un espace non commutatif les points sont indiscernables les uns des autres. Depuis un vingtaine d'années, une nouvelle discipline a été crée : la géométrie non commutative. Elle permet de calculer et résoudre des équations. Pour mesurer une distance on évalue le déphasage entre deux points ou on calcule les niveaux d'énergies de certains opérateurs non commutatifs. Dans un monde non commutatif l'espace engendre le temps. A partir des états d'équilibre, on en déduit l'évolution temporelle. Il y aurait une existence d'échelle de temps. Certains scientifiques ont posé l'hypothèse que le temps passe car nous sommes dans une certaine température. Le modèle standart pose un probléme pour la description de l'organisation des particules élémentaires. Chacune des forces possèdent des symétries. Alain Cones, scientifique, a construit un modèle où les dimensions sont non commutatives, qui engloberaient toutes ses particules. De plus, dès que les physiciens appliquent le modéle standart à des particules, les calculs divergent vers l'infini. Ils ont donc inventé la technique de renormailisation : différenciation des différents paramètres. Les mathématiciens, on découvert un groupe dans le problème, ceci facilite le problème. Une autre alternative pour résoudre le problème est la théories des cordes. Alain Connes est chercheur à l'institut des hautes études scientifiques. Dans les années 1980, il invente la géométrie non commutative. Il a reçu de nombreuses récompenses pour ses travaux.<br /> Définitions : Le boson de Higgs aurait été donné une masse à certains vecteurs de l'interaction de l'électrofaible, leur donnant des propriétés différentes de celles des autres vecteurs. Un opérateur hamiltonien permet de décrire l'évolution d'un système quantique au cours du temps dans la représentation de Schroedinger. La symétrie de jauge est un principe qui s'applique à la mécanique quantique des trois forces fondamentales non gravitationnelles.<br /> Compléments : La géométrie de l'incertitude, LR n°307, 03/1998 - Mathématiques.